Trop risqué. La banque a vendu sa dernière participation dans une telle société en vendant ses mines de charbon en Colombie. Elle se bornera désormais, dans ce domaine, au courtage : achat et vente pour autrui ; après 34 ans d’investissements privilégiés dans les matières premières. C’est la fuite en avant alors que les prix s’effondrent. En attendant, Goldman Sachs a bien profité de leur précédente envolée démesurée, liée à l’explosion de la demande dans les pays émergents, et au cycle de délocalisation-chômage en Europe. A cela il faut ajouter que la Fed elle-même pousse à la roue ; c’est elle qui veut voir les banques se désengager du secteur.