Après Philippe Verdier, la Société de Calcul Mathématique s’oppose à la théorie du réchauffement climatique

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Philippe Verdier, le présentateur de météo en cours de licenciement par France Télévision, n’est évidemment pas le premier à remettre en cause l’alarmisme climatique ambiant, et certainement pas le dernier. Depuis la sortie de son livre, il a notamment été rejoint par Société de Calcul Mathématique qui a publié un Livre Blanc sur la lutte contre le réchauffement climatique, en tous points opposé aux thèses et conclusions du GIEC.
 
« Nous devons parvenir à un consensus », osait déclarer François Hollande en mai dernier, à propos de la COP21 qui se tiendra à Paris en décembre. « Si c’est difficile au sein de votre propre pays, imaginez ce que ce sera avec 196 pays. Un miracle ! »
 
Mais le gouvernement français n’a finalement pas attendu le miracle. Il a dû juger que la censure était un moyen plus sûr pour parvenir au consensus. C’est bien la raison pour laquelle le présentateur vedette de la météo sur France 2 a été subitement écarté de son poste après des années de bons et loyaux services. Son livre remet prudemment en cause la doxa climatique, et notamment la responsabilité de l’homme dans le réchauffement global.
 
Ironie des choses : ce comportement était la meilleure publicité que la chaîne publique pouvait apporter à son livre dans lequel Philippe Verdier dénonçait justement le totalitarisme des défenseurs de la théorie du réchauffement global.
 

La Société de Calcul Mathématique confirme les doutes de Philippe Verdier sur le réchauffement climatique

 
La Société de Calcul Mathématique met encore moins de gants : son rapport s’intitule Le Réchauffement Climatique : une croisade absurde, coûteuse et inutile.
 
Le discours ambiant voudrait nous laisser croire que le réchauffement climatique que l’on constate depuis une trentaine d’année est dû aux activités de l’homme. Résultat : des dizaines de réglementations dramatiques pour les économies des pays développés.
 
Pour la Société de Calcul Mathématique, le combat est purement idéologique. Il serait invalidé par « les faits, les données, les observations, les raisonnements », bref, scientifiquement.
 

Pour la Société de Calcul Mathématique, la croisade contre le réchauffement climatique est inutile

 
Le rapport montre simplement que le climat varie naturellement et que l’homme n’a absolument aucun pouvoir sur lui. Il ajoute que le réchauffement n’a rien d’inquiétant : comme elle l’a toujours fait dans son histoire, la Terre s’en accommodera. Mais le rapport est également très critique envers le GIEC : « aucune revue de bon niveau ne publierait de tels travaux », commente-t-il à son sujet. « Les conclusions du GIEC sont en contradiction avec les observations et les données utilisées sont délibérément choisies pour étayer les conclusions », affirment les auteurs qui accusent le GIEC, chiffres à l’appui, de manipulation.
 
La Société de Calcul Mathématique est une institution parfaitement reconnue pour le sérieux de son travail : fondée par le professeur Bernard Beauzamy, elle réalise des modèles mathématiques pour des entreprises et des gouvernements (parmi lesquels le gouvernement français), et fournit également des « outils mathématiques pour détecter la fraude ».
 

Aux Etats-Unis, la NOAA refuse de communiquer sur la « pause » dans le réchauffement climatique

 
Cette renommée ne l’empêche pas de dire la vérité, avec les risques que l’on connaît pourtant et que la société elle-même relève : nul n’a le droit de s’exprimer contre cette nouvelle religion.
 
Elle conclut pourtant en dénonçant le coût dévastateur économiquement, socialement et même pour l’environnement des différentes régulations imposées par les alarmistes du climat.
 
La croisade dénoncée est qualifiée enfin par la Société d’« obsession folle ».
 
Les faits sont de plus en plus difficiles à cacher, à mesure que de nombreux scientifiques se mettent à parler sur le sujet. Aux Etats-Unis, comme en France, on opte donc pour la censure, seul moyen de taire des données gênantes.
 
C’est la raison pour laquelle l’une des principales agences américaines de recherche océanique, la NOAA, vient de refuser de publier les communications entre chercheurs sur la question d’une éventuelle « pause » du réchauffement climatique. La NOAA affirme que la « pause » était une erreur de calcul, mais personne n’a le droit d’accéder à ce qu’en disent les chercheurs entre eux…
 
Peu convaincant, a fortiori lorsque les mesures satellitaires révèlent qu’aucune hausse de la température n’est mesurable depuis… 18 ans !
 

Béatrice Romée