L’académicien français René Girard, dont l’intelligence avait été plus ou moins contrainte de s’aller exiler en Amérique, s’est éteint mercredi à Stanford, à l’âge de 91 ans.
Admiré de certains, ignoré voire méprisé de beaucoup, sa pensée exigeante et éclairante aura fouillé, au fond de la foi et du cœur de l’homme, ce que le désir, le sacrifice et la violence y ont d’essentiel. Pour ne pas se contenter de quelques dates et citations, on peut lire l’hommage que, sur son blog, l’abbé de Tanoüarn rend à l’homme qu’il a connu.