L’équipe de chercheurs du Dr Vladimir Sytnyk de l’université New South Wales a identifié le processus de destruction des connexions cérébrales. Il s’agit d’un mécanisme moléculaire directement lié à la perte de connexions synaptiques en matière de mémoire et d’apprentissage. Les chercheurs se sont aperçus que la molécule NCAM2 présente dans l’hippocampe cérébrale était moins présente chez les personnes atteintes de la maladie. Cette découverte sans précédent pourrait être à la base d’un remède à la maladie d’Alzheimer dans l’avenir, alors qu’elle est responsable de 70 % des cas de démence.