Mauro Ferrari, président du Houston Methodist Institute du Texas qualifie les résultats de cette étude d’« époustouflants ». La nouvelle méthode consiste à générer des nanoparticules de médicaments à l’intérieur de la tumeur qui les diffusent ensuite directement vers le noyau des cellules atteintes. En cachant les molécules médicamenteuses à l’intérieur de disques de silicone microscopiques, les cellules cancéreuses n’ont pu résister au traitement. Les souris soumises aux essais ont été exemptes de cancer pendant 8 mois, l’équivalent de 24 ans chez les êtres humains. Les premiers essais cliniques sur des sujets humains devraient démarrer dès l’année prochaine, peut-être en l’étendant à d’autres types de cancer.