Vers un petit âge glaciaire ?

Vers un petit âge glaciaire ?

La NASA s’inquiète, la terre risquerait d’aller vers un petit âge glaciaire. Ce ne serait pas gai : tous les écoliers se souviennent de Charles le Téméraire mangé par les loups devant Nancy, ou des terribles disettes et froidures qui endeuillèrent la fin du règne de Louis XIV, lequel eut lieu durant ce que les climatologues nomment le « minimum de Maunder », qui va de 1645 à 1715.
Responsable du phénomène : le soleil, dont l’activité est le principal facteur de notre climat, et qui semble faiblard en ce moment. Or depuis une quarantaine d’année, les scientifiques à la solde de l’ONU prédisaient un réchauffement planétaire catastrophique d’origine humaine, cela dans le but politique de limiter les économies du nord et de lancer une politique globale de contrôle des nations. Il se trouve que cette propagande, critiquée par de nombreux scientifiques dissidents, se trouve contredite par les observations que ne peut s’empêcher de faire la NASA.

 
Le mythe de l’anthropogénèse
Et qui inquiète tout le gratin des climatologues. Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory a assuré à la BBC « n’avoir jamais rien vu de tel en trente ans (…) Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace ». Alors que faire ? Produire un maximum de gaz à effet de serre pour empêcher l’atmosphère de se refroidir ? Des journalistes humoristes y ont déjà pensé, ainsi qu’un scientifique russe très sérieux. De toutes façons, cela n’aurait qu’une incidence limitée sur le climat, que l’homme ne saurait modifier profondément ni en bien ni en mal. C’est la fin du mythe de l’anthropogénèse du climat. Mais il est sûr que les écologistes du monde entier vont changer leur fusil d’épaule, et recommander une action globale au niveau de la planète pour nous sauver de l’âge de glace, comme ils exigeaient hier d’agir contre la fournaise et le dessèchement·