L’hystérie autour du « réchauffement de la planète » atteint de nouveaux sommets : un procureur américain (des îles Vierges) a exigé des climato-sceptiques du CEI (Competitive Enterprise Institute, organisation à but non lucratif) de lui remettre ses emails, ainsi que la liste de ses donateurs…
Une décision qui a entraîné une réponse énergique du CEI dénonçant une atteinte au 1er Amendement et à la science. Mais cet abus de pouvoir soulève des questions et n’est pas sans effet sur la liberté d’expression et d’investigation.
Cette décision de justice s’inscrit dans une campagne menée conjointement par des Démocrates, des procureurs d’extrême-gauche se nommant eux-mêmes « Les Procs Unis pour un Pouvoir Propre » et le « gourou du climat » Al Gore, dans le but de faire taire les dissidents, à l’heure où de plus en plus d’Américains disent ne pas croire à la thèse du réchauffement climatique (seuls 40 % y croient).
Tout est bon pour faire taire les climato-sceptiques
Cette campagne de persécution, soutenue par les Astro Turf groups financés par Rockefeller, a été annoncée la semaine dernière par le ministre Démocrate de la justice de l’Etat de New York, Eric Schneiderman : « Les mesures de rétorsion financières seules ne seront peut-être pas suffisantes… ». Il a même suggéré que la prison serait peut-être utilisée pour faire taire les opposants. Une annonce faite avec Al Gore, juste avant que la météo ne se mette à geler et qu’un record de froid s’abatte sur New York (un « effet Gore » constaté un peu partout après les conférences alarmistes du personnage).
Schneiderman et de nombreux autres élus, désireux d’imposer une taxe sur le « gaz de la vie » appelé dioxyde de carbone, comme s’il s’agissait d’une « pollution », prétendent que leur théorie est vraie. Les preuves du contraire s’accumulent pourtant, les informations fournies par satellite et ballon-sonde apportant la preuve qu’il n’y a pas de réchauffement global depuis au moins 20 ans, contredisant les modèles climatiques onusiens.
La réquisition d’emails par un procureur américain, nouvelle étape vers la pénalisation du doute
Au-delà du nombre de prédictions catastrophiques qui se sont révélées fausses, l’affaire du ClimateGate (des fuites provenant d’un centre de recherche climatique britannique faisant état de multiples fraudes, attaques contre des collègues et obstructions de données de la part de climato-alarmistes connus, en 2009) a mis en évidence les pratiques des tenants du réchauffement climatique, pris en flagrant délit de conspiration pour « cacher la baisse » des températures, chercher à détruire l’information payée par le contribuable ou encore brimer les directeurs de publications non conformes à leurs vues.
Aujourd’hui, une nouvelle étape est franchie, « dernier effort d’une campagne d’intimidation visant à criminaliser la parole et les recherches sur le débat climatique » selon le CEI.
Une omerta qui ne se limite pas aux Etats-Unis, puisqu’il y a quelques mois le chef du service météo de France Télévisions, Philippe Verdier, s’est fait licencier pour avoir osé remettre en cause les théories du GIEC. Il est vrai que son livre Climat Investigation tombait mal, quelques semaines seulement avant la grande mise en scène de la COP21.