Les faits se sont produits à proximité de la gare de Cologne où un groupe d’hommes l’a jetée à terre. Une autre jeune fille a été violée à côté d’elle lors des agressions sexuelles massives menées par des groupes de migrants. Son cas a pu faire l’objet d’une enquête grâce à l’intervention d’une association mise en place pour la défense des jeunes filles de Cologne qui a révélé que dans ce cas précis, le viol a été suivi d’un avortement.
La jeune victime n’a pas osé se manifester et elle n’a pas porté plainte contre le viol, mais elle s’est rendue à l’hôpital où elle a su qu’elle était enceinte. Elle a choisi de se faire avorter sans savoir toutefois avec certitude si son violeur était le père de l’enfant.
Sur quelque 2.000 responsables d’agressions, seuls 120 ont été identifiés à ce jour – la moitié de ceux-ci était des migrants arrivés en Allemagne de fraîche date.