L’ancien député UMP du Nord Christian Vanneste saura jeudi 7 mars s’il est condamné pour des propos portant sur l’existence d’un lobby homosexualiste en France et naturellement taxés d’homophobie. Comme son avocat, Me Frédéric Pichon, l’a souligné, décrire une situation sans porter de jugement de valeur ne saurait être tenu pour une provocation à la haine. S’il n’était pas relaxé, ce serait une nouvelle atteinte à la liberté de parole, une nouvelle conquête du totalitarisme rampant·