Pour nourrir l’agitation verbale, les Occidentaux organisent des événements en Ukraine, comme la visite des chefs d’Etat, ou leurs interventions. En même temps, ils soutiennent le suspens médiatique avec des nouvelles diverses.
Un représentant de l’ONU s’est plaint d’avoir essuyé des coups de feu, sans qu’on puisse exactement savoir quoi et de qui. Et des rumeurs récurrentes d’occupation de bases par des forces russes parviennent aux rédactions.
Mais il est difficile de savoir ce que recouvrent ces occupations « partielles » et les images ne montrent que des drapeaux, des entrepôts, des hommes habillés de différents uniformes et une campagne tranquille.
A suivre·