Ce propos d’Angela Merkel dans la presse allemande dimanche était une claire menace adressée aux pays européens de l’Est même si le chancelier a précisé que cela serait « dommageable à la cohésion européenne ».
De fait, ce n’est pas la cohésion qui intéresse Merkel mais la domination de l’UE, facilitée par le déversement de milliards d’euros dans les pays de l’ancien bloc communiste, largement bénéficiaires nets des flux de contributions et de subventions.
Le chancelier allemand estime cependant que la mise en œuvre de l’ensemble de la politique migratoire de l’UE – combattre les causes de l’afflux vers l’Europe, protéger les frontières, installer un partenariat de développement avec l’Afrique, empêcher les trafiquants d’êtres humains d’agir – permettra de « mettre fin à la défiance à l’égard de la migration légale bien gérée ».
Traduisons : plus d’Europe pour faire accepter plus d’Europe.