Tous « examinés par des pairs », selon la formule consacrée, ils remettent en doute la théorie selon laquelle les émissions de CO2 anthropiques constituent le principal facteur de changement du climat.
Ils renforcent tous la position selon laquelle notre compréhension du climat est limitée et incertaine.
Ils montrent aussi que les températures actuelles, ainsi que les niveaux océaniques et les événements climatiques extrêmes ne sont ni inhabituels ni sans précédent, de nombreuses régions étant aujourd’hui plus fraîches qu’au cours des 10.000 dernières années.
Pas moins de 106 articles étudient le rôle du soleil dans les variations climatiques, tandis que 37 autres mettent en évidence les oscillations océano-atmosphériques pluri-décennales ; de nombreux facteurs externes rendent difficile la détection d’un rôle spécifique de l’activité humaine.
En 2016, le nombre d’articles dans cette veine a dépassé les 500.
Tous les liens vers les études climato-sceptiques sont accessibles ici.