C’est ce qui a été annoncé lors d’un symposium international à Shanghai à la fin de novembre. La station lunaire serait chargée de tâches de recherche, d’analyse et d’expérimentation, éliminant notamment le coût du retour d’échantillons de roche lunaire vers la terre.
Munie d’un important générateur solaire, la station bénéficierait d’une plus grande efficacité énergétique que les modules lunaires actuels.
L’envoi d’une fusée portant un chargement de plus de 100 tonnes est prévue pour les environs de 2030.
Plusieurs modules lunaires précéderont la mise en place de cette station à part entière.
La Chine a également prévu d’expédier un module vers Mars au moyen d’une fusée Longue Marche 5 d’ici à 2020.