Il ne semble y avoir aucun lien entre la survie des ours blancs et la disponibilité de glace maritime, selon plusieurs études, ni d’impact du « réchauffement » sur leur santé (Aars et al., 2017 ; Laforest et al., 2018…).
On se plaint plutôt d’une population d’ours blancs trop importante, alors que les plantigrades ne semblent pas gênées dans leur chasse aux phoques par la finesse de la glace. Les réchauffistes soutiennent que cette chasse n’est possible que depuis la couverture de glace et non en eaux ouvertes – ce qui contredit l’avis des Inuits pour qui les ours polaires sont d’excellents nageurs capables d’attraper leurs proies dans l’eau.
Les communautés inuit sont aussi celles qui signalent, sur le terrain, l’augmentation de la population ursine, chose confirmée par les analyses aériennes.