Au Brésil, il y a le mondialisme triomphant qui prépare la grosse fête du foot et du fric, et puis en face il y a les favelas qui incarnent l’altermondialisme, l’internationale des pauvres contre les riches, et qui réclament la péréquation des ressources. Entre les deux la police, qui va avoir fort à faire jusqu’au Mundial et pendant. Un incident vient de dégénérer dans une favela de Rio, bilan un mort. Pour l’instant. Avec la fièvre qui gronde et les médias à l’affût, prêts à exploiter la misère aussi bien que le spectacle du foot·