C’est le Royaume-Uni qui alignera les fonds – l’équivalent de quelque 16 millions d’euros – pour ce partenariat technologique de quatre ans dont il attend « des milliers de nouveaux emplois », calqué sur un accord similaire avec Israël qui a permis de réaliser des contrats d’une valeur de plus de 70 millions d’euros ces cinq dernières années.
Le partenariat vise à la fois une collaboration universitaire et gouvernementale et permettra notamment l’échange de personnel, les parrainages et le travail commun sur des technologies émergentes.
L’Inde est perçue comme un partenaire idéal dans ce domaine parce qu’il s’agit d’un des pays les plus connectés au monde (mais sans aucun doute aussi parce que les salaires y sont plus bas…).