Ils dénoncent la loi sur le travail. Les « indignés » font la fête et discutent en toute tranquillité : « On voulait reprendre l’espace public », ont-ils expliqué pour justifier leur refus de se disperser après la manifestation du 31 mars.
Les pouvoirs publics et les forces de l’ordre n’ont pas bronché.
On ose à peine imaginer ce qui se passerait si c’étaient des militants de la Manif pour tous ou des Veilleurs…