Au terme d’un procès lancé contre le département de la Sécurité intérieure, l’organisation Judicial Watch est parvenu à se procurer 76 pages de dossiers sur les clandestins prétendument expulsés en avril dernier, mais finalement relâchés parmi la population américaine.
Parmi eux, 165.950 clandestins criminels condamnés pour meurtre, viol, enlèvement, agression ou harcèlement et 706.950 clandestins non-criminels : tous ont été relâchés par les services de sécurité avec l’ordre de quitter le pays, ordre qu’aucun d’entre eux n’a respecté.
872.900 clandestins relâchés par l’administration Obama, parmi lesquels de dangereux criminels
Au total, 872.900 clandestins sillonnent aujourd’hui les Etats-Unis illégalement, certains d’entre eux étant de dangereux criminels… Une situation que le parlementaire républicain Lamar Smith a qualifiée de « pire évasion de prison dans l’histoire des Etats-Unis ».
Un autre document du département de la Sécurité intérieure publié plus récemment révèle la libération de quelque 30.000 clandestins criminels de plus durant la dernière année fiscale. Un chiffre qui porte le nombre de clandestins criminels relâchés par l’administration Obama à 195.000.
Des informations effrayantes qui n’auraient jamais été connues du peuple américain si Judicial Watch n’avait pas porté plainte, s’appuyant sur le Freedom of Information Act.
Judicial Watch a dû intenter un procès pour obtenir ces informations sur les clandestins relâchés
« Il est épouvantable que nous ayons dû porter cette plainte devant la cour fédérale pour obtenir des informations clés à propos de la libération, par l’administration Obama, de 165.950 clandestins convaincus de crimes », a commenté le président de Judicial Watch,Tom Fitton.
« Ces documents montrent que l’administration Obama ment lorsqu’elle affirme que ses priorités de sécurité comprennent l’expulsion de clandestins qui ont commis des crimes. »
« Et les administrations locales sans foi ni loi qui protègent et aident ces violeurs étrangers illégaux, et autres criminels montrent bien que des politiques de tout niveau placent leur intérêt au dessus de l’Etat de droit et de la sécurité publique. »
« Mais où vont donc aller les victimes innocentes de tous ces clandestins criminels relâchés par l’administration du président pour obtenir justice ? », demande enfin Tom Fitton.