Dans les palmarès établis par l’institution globaliste, l’Arabie saoudite occupe désormais la 10e place sur l’index de la protection des investisseurs minoritaires, puisque les détenteurs de parts de sociétés représentant 5 % du capital sont désormais autorisés à proposer des résolutions lors des assemblées générales d’investisseurs.
Voici également le royaume wahhabite classé second des pays à forts revenus du G20 en termes de réformes visant à améliorer le climat des affaires.
Ce sont évidemment les réformes récentes engagées par le prince héritier qui se voient récompensées par une Banque mondiale dithyrambique.