Mgr Edward Weisenburger que le pape François vient de nommer archevêque de Détroit a immédiatement, sans même attendre sa première messe prévue pour le 18 mars à la cathédrale, condamné Donald Trump avec la plus grande violence. Il a pour commencer attaqué sans nuance le démantèlement de l’USAID avant de s’en prendre à la politique des frontières du nouveau président. Il a affirmé sans sourciller que les fidèles qui s’y trouveraient « impliqués » encouraient des « sanctions canoniques ». Condamnant sans hésitations ceux qui s’opposent au passage et à la présence des migrants clandestins aux Etats-Unis, il a déclaré : « Pour le salut de l’âme de ces gens, il est peut-être temps pour nous de prendre des sanctions canoniques. » Et pour lui la sanction canonique envisagée est claire : l’excommunication ! Chez ce moderniste assumé, qui a montré un zèle particulier pour le politiquement correct durant le COVID, c’est un progrès qu’il parle du « salut des âmes ».