L’industrie mondiale de la GPA ne recule devant aucune arnaque. En 2018, K. (appelons-la comme ça), 35 ans, qui vit aux Etats-Unis est contactée par une agence de maternité de substitution pour aider un « couple désespéré », T. et L., à avoir un enfant. Elle a plus de sensibilité que de jugeote. Prise de « compassion », pour leur donner du « bonheur » et « lutter contre l’infertilité », elle accepte de porter leur enfant, et accouche d’un petit garçon, appelons le M., en 2019. Depuis, elle a découvert que ni le sperme ni l’ovule à l’origine de M. ne proviennent de T ni de L. Que L. était enceinte. Et que le couple a revendu M. à un autre couple pour 100.000 dollars.











