Le mercredi 17 décembre, le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a exigé le retrait « d’urgence » de la crèche située dans l’hôtel de ville d’Asnières-sur-Seine, sous peine d’une amende de 100 euros par jour.
Le maire LR de la ville, Manuel Aeschlimann, régulièrement attaqué pour ses célébrations de Noël, a refusé de tout bonnement supprimer la crèche, préférant la déplacer de 5 mètres, en dehors de l’hôtel de ville. Répondant au Figaro, il a déploré : « On pourrait en sourire mais c’est une attaque d’activistes zélés qui veulent gommer notre histoire et les racines chrétiennes de la France. Petit à petit, ils finissent par y arriver. »
Et l’édile dénonce : « Il y a une vraie insécurité juridique puisque selon la ville dans laquelle vous êtes jugé, l’urgence ne serait pas la même. » Il y a de quoi être fasciné par les « urgences » de la justice française.











