Les calculs communément invoqués sur la quantité de CO2 dans l’atmosphère, et partant les annonces de plus en plus alarmistes sur le réchauffement climatiques, sont basés sur une erreur importante, vient de révéler une étude du Dr Chris Huntingford, du Centre for Ecology and Hydrology britannique. Encore une… L’erreur porte sur le calcul de la part de CO2 que les plantes absorbent, sous-estimée de 16% selon ces travaux qui viennent d’être publiés.
Plus les plantes absorbent de CO2, moins il en reste dans l’atmosphère
La sous-estimation qui a servi pour la modélisation du changement climatique a conduit à une surestimation des gaz à effet de serre présents dans l’atmosphère, à la fois sur le plan historique et pour l’avenir.
Le quotidien à grand tirage britannique The Daily Express ne craint pas de souligner que cela jette un doute sur l’origine humaine du changement climatique, attribué à l’utilisation de carburants fossiles. Il rappelle même que « ce rapport intervient alors que le changement climatique fait une pause depuis 18 ans – pause dont les scientifiques affirment qu’elle n’est que temporaire ».
Et le journal cite aussi Benny Peiser du Global Warming Policy Forum : « Ce nouvel article s’ajoute à un corpus de recherche de plus en fourni qui démontre que la science du climat est loin d’être fixée. C’est l’inverse qui est vrai : plus nous apprenons, plus nous nous rendons compte combien il nous reste à apprendre. »
Une erreur qui alourdit l’atmosphère chez les partisans du réchauffement
L’étude confirme « que le système climatique de la Terre est bien plus complexe et beaucoup moins bien compris que ne l’affirme un grand nombre de personnes », ajoute ce « climato-sceptique ».
De son côté, le responsable de l’étude qui révèle la substantielle erreur sur la capture de CO2 par les plantes parle d’une capacité « légèrement » meilleure – 16%, c’est pourtant plus d’un septième ! – et ajoute qu’il sera donc « légèrement » plus facile de rester en deçà des 2° sur le plan mondial. Chris Huntingford est rejoint par d’autres scientifiques qui appellent à ne pas relâcher les efforts… Les bonnes nouvelles les gênent-elles, peut-être ?