Manque de pratique… Les médecins irlandais ont appelé leurs collègues britanniques à l’aide, pour mener « à bien » les avortements que devra permettre l’adoption du projet de loi sur la réglementation de l’interruption de grossesse en décembre.
Ils auraient fait appel aux « compétences » du Royal College of Obstetricians and Gynecologists et de la British Association of Abortion Care Providers.
Pour la première fois donc, les maternités seront autorisées à pratiquer un avortement dans lequel la santé, et pas seulement la vie d’une femme, est sérieusement menacée. Ils mettront également fin aux grossesses en cas de diagnostic d’anomalie fœtale mortelle.
Environ un tiers des omnipraticiens ont déclaré au cours de l’été qu’ils proposeraient des avortements médicaux.