Barbara Butch et le petit monde olympique continuent leur agit-prop provocatrice

Barbara Butch olympique agit-prop
 

Barbara Butch est cette grosse dame habillée en bleu et coiffée de ce qui peut s’apparenter à l’auréole de la Vierge qui est apparue à un milliard de spectateurs consternés dans la soirée d’ouverture des Jeux olympiques le 26 juillet à 21h34 dans une parodie de la Cène. La chose est incontestable, comme le prouve un post envoyé par elle-même, où, en compagnie de quatre camarades drag queens, elle lance « Oh, yes ! Oh yes ! The New Gay Testament ! », suivi d’un tweet où elle se présente ainsi « @barbarabutch en Olympic Jesus ». Cette créature, dont on ne connaît pas le vrai nom, mais qui se revendique « lesbienne juive » est disk jockey de son métier, et militante active contre la « grossophobie, l’homophobie et la putophobie ». Elle est attendue au festival Rock en Seine dimanche avec la flamme paralympique, désireuse de confondre ses obsessions avec la cause des handicapés : elle sera d’ailleurs accompagnée du médaillé paralympique Hélios Latchoumanaya, judoka malvoyant récompensé par le bronze aux JO de Tokyo. Elle prétend avoir reçu des menaces sur le net et du cyberharcèlement, contre lequel elle a porté plainte, l’office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine étant chargé de l’enquête. Formidable renversement dialectique caractéristique de la révolution en cours : une militante politique qui vient de se rendre coupable, en bande organisée, d’une formidable agression contre les chrétiens et leur foi, non seulement nie les faits (car, après coup, elle a laissé le metteur en scène Thomas Jolly nier au nom de tous les acteurs qu’il y ait eu pastiche de la Cène), mais se présente en victime d’attaques inacceptables.