Il a estimé avoir présenté devant le Congrès américain une alternative viable à l’accord sur le nucléaire iranien en cours de négociation entre Téhéran et les grandes puissances : selon lui, sa proposition « prolonge d’un côté de plusieurs années le temps qu’il faudrait à l’Iran pour arriver jusqu’à l’arme atomique, et durcit les sanctions s’il décide d’enfreindre l’accord », a-t-il déclaré dans un communiqué.