En dépit du premier amendement de la Constitution américaine qui garantit la liberté d’expression, trois sénateurs démocrates membres du comité sur l’environnement viennent d’envoyer 100 lettres à des think-tanks et entreprises énergétiques, leur demandant de publier les rapports de financement de toutes les recherches qu’ils ont conduit sur le réchauffement global.
Une volonté de faire taire les opposants à la thèse d’une responsabilité humaine dans un réchauffement global, à laquelle les personnes visées ne comptent pas céder.