GISSTEMP : les températures moyennes ont connu leur chute la plus forte sur un siècle. Médias dominants et réchauffistes censurent

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Le climat vient de subir un refroidissement global. Mais aucun des médias dominants de l’oligarchie réchauffiste n’en parle : surtout ne pas anéantir le prétexte idéal aux juteuses disruptions technologiques et à la tyrannique « gouvernance » mondiale. Pourtant ces deux dernières années, sur une période allant de février 2016 à février 2018, ont subi la chute la plus rapide des températures moyennes depuis un siècle. Selon les données du GISS Surface Analysis (GISSTEMP), de l’Institut Goddard des Etudes spatiales de la Nasa, la baisse est de 0.056°C. La dernière chute des températures moyennes de cette importance sur deux années remonte à la période 1982-1984, avec une baisse de 0.047°C. Pourquoi cette censure ?
 

Les médias dominants censurent les données du GISSTEMP, pourtant utilisées par les réchauffistes du GIEC

 
GISSTEMP est la référence en matière de températures moyennes globales. Le GIEC, Groupe international d’experts sur l’évolution du climat et principal avocat des thèses réchauffistes, qui dépend de l’ONU, utilise les données de GISSTEMP. Les chiffres fournis par ce dernier révèlent en outre que la période de février à juin 2016 a connu la plus forte chute des températures sur cinq mois. La période de février à juin 2017 a quant à elle connu la quatrième plus forte chute sur cinq mois. Mais alors comment peut-on parler, dans les médias dominants, « d’année la plus chaude jamais connue » ?
 
La principale raison est bien sûr que la couverture médiatique dominante sur le changement climatique obéit à des objectifs politiques et économiques, et non aux faits. C’est la raison pour laquelle les grands médias sautent sur chaque occasion pour déconsidérer les positions qui ne leur plaisent pas. Par exemple en faisant grand bruit autour de l’affirmation stupide portée par un représentant républicain, Mo Brooks, qui a soutenu que si le niveau des océans augmentait c’était à cause des chutes de rochers. Cela permet de passer sous silence les derniers chiffres de la Nasa qui risquent de fournir des arguments aux climato-sceptiques honnis. Or le débat, n’en déplaise au vendeur de crédit-carbone Al Gore, est loin d’être conclu.
 

Censure des faits qui contredisent les réchauffistes – comme la chute des températures moyennes la plus importante depuis un siècle

 
La technique de l’occultation des faits est parfaitement maîtrisée dans les rédactions. A peine le journaliste Aaron Brown avait-il parlé de ce « grand frisson » causé par la récente baisse des températures, les médias dominants passaient en boucle d’autres sujets climatiques, allant toujours dans le même sens. Ils tartinent par exemple sur ce groupe qui veut sculpter le visage du président Donald Trump dans un glacier pour prouver que le réchauffement global est aussi réel que digne de mobiliser les journalistes. Le New York Times affirme que le réchauffement est la cause d’agitation et d’insomnies chez les ours. Tout ce qui sert la doctrine est bon prendre, fût-ce ridicule.
 
Autre information solide passée sous silence par les médias dominants, le résultat de l’étude scientifique de Nicholas Lewis et Judith Curry qui prouve que les modèles climatiques communs sont faussés car ils surestiment les effets du CO2 dans l’atmosphère de quelque 45 %. Cette étude a été publiée par la revue scientifique Journal of Climate, de la Société américaine de Météorologie. Personne ne peut donc affirmer que les découvertes de Curry et Lewis ne sont pas scientifiquement vérifiées. On peut citer aussi, parmi les données délibérément occultées par les Pravda du moment, l’étude de l’Université de Californie à San Diego sur une possible baisse de l’activité des taches solaires dont les conséquences pourraient être la survenue d’un nouveau petit âge glaciaire.
 

Les médias dominants censurent et ont perdu toute crédibilité

 
On rappellera les accusations portées contre l’administration météorologique américaine NOAA, soupçonnée de truquer les relevés de températures pour démontrer que le réchauffement est pire que dans la réalité, ou encore la croissance inexplicable de la petite nation insulaire de Tuvalu qui aurait dû être engloutie par les eaux du Pacifique selon Al Gore. Toute preuve apportée entrant en contradiction avec la religion du réchauffement climatique est enfouie sous l’avalanche des sarcasmes d’experts auto-proclamés et pseudo-scientifiques, tels l’animateur de télévision et ex-ingénieur mécanicien Bill Nye, ou tout simplement censurée. Les médias dominants ont perdu toute crédibilité à rapporter des faits avec équilibre et honnêteté, particulièrement dans le domaine climatique.
 
Pour James Murphy, chroniqueur pour le site d’information alternative thenewamerican.com, « On dirait que l’ONU, le CFR (puissant lobby globaliste américain, NDLR) et autre groupes mondialistes soient prêts à mourir pour le dogme » du changement climatique anthropique, « accompagnés évidemment par les médias dominants ». Murphy conclut que « Si l’histoire du réchauffement global s’effondre, il leur faudra imaginer un autre plan pour terrifier le monde afin de pouvoir imposer leur Agenda 21 », ce plan d’instauration d’un absolutisme techno-socialiste mondial concocté dans les couloirs de l’ONU.
 

Matthieu Lenoir