Les données météo américaines du XXe siècle qui ont été utilisées pour « prouver » le réchauffement global ont été fabriquées de toutes pièces, si l’on en croit la différence des courbes publiées par le site du GISS entre 1920 et 2000.
Les scientifiques concernés se sont défendus en prétendant que « les données mesurées ne sont pas fiables »
C’est sans doute vrai, mais de là à les remplacer par d’autres qui n’ont strictement rien à voir et qui découlent tout droit d’un modèle mathématique fantaisiste, il y a un pas qu’aucun scientifique n’aurait dû franchir.
Voilà pourquoi le dogme du changement climatique ne trouve plus aucun crédit depuis longtemps dans le public cultivé.