Il faut défigurer nos paysages par la mise en place de toujours plus d’éoliennes, pour lutter contre le « réchauffement climatique ». Mais une nouvelle étude vient de découvrir que sous les latitudes tempérées nordiques – une zone qui comprend les Etats-Unis, le Royaume-Uni et tout le pourtour méditerranéen, la Russie et le Japon – le vent soufflera nettement moins fort en cas de réchauffement.
Publiée dans le journal Nature Geoscience, l’étude utilise les mêmes modèles que les GIEC et aboutit à des constats jugés significatifs. C’est précisément dans les zones qui aujourd’hui accueillent un très grand nombre d’éoliennes que la force du vent chutera, selon Kristopher Karnauskas de l’université de Colorado Boulder. Il invite à mieux étudier l’implantation des turbines.
Dans d’autres zones du monde : l’Australie et l’Afrique notamment, le réchauffement devrait provoquer selon cette même étude une accélération du vent.
Quoi qu’il en soit, tout cela démontre que les solutions préventives sont difficiles à mettre en œuvre (et d’autant plus que la science du réchauffement est décidément peu exacte).
L’information est tout de même à retenir, signale Paul Homewood du blog climatosceptique « notalotofpeopleknowthat », pour la ressortir la prochaine fois qu’un requin du changement climatique annoncera une aggravation des tempêtes du fait de la montée des températures.