A quatre-vingt-neuf ans, Geneviève de Galard témoigne du terrible siège de Dien Bien Phu, où elle se trouva enfermée comme infirmière. Pour rappeler aux plus jeunes l’horreur de la guerre, l’horreur du communisme, et le sacrifice d’une armée française qui lutta contre le totalitarisme et pour le progrès des peuples d’Indochine.
Une mémoire qu’on entretient peu, une histoire qu’on ne raconte guère, sauf la plupart du temps pour la défigurer·