En 2000, la place Beauvau, alors occupée par Jean-Pierre Chevènement voulait que « la police soit à l’image de la Nation ». En termes clairs, il s’agissait de recruter « en priorité » des jeunes (garçons et filles), issus des zones urbaines sensibles et de l’immigration.
Quelques années plus tard, aujourd’hui, une note du cabinet du ministre de l’Intérieur démontre que la « radicalisation » au sein de la police préoccupe la Place Beauvau…