La police slovaque enquête sur la privatisation de l’Electricité slovaque. L’actuel Premier ministre soupçonne la transaction, négociée par ses prédécesseurs, d’avoir lésé les intérêts nationaux.
L’entreprise italienne Enel, qui détient désormais 66% des parts touche, garantis par un contrat sur 30 ans, 35% des revenus de la production et de la vente de l’énergie d’origine hydraulique produite à Gabcikovo. Des clauses qui favorisent un véritable prédateur, selon plusieurs ministres slovaques, et confinent au pillage. Une fois encore, les privatisations se sont faites au profit du Grand Capital.