C’est ce que révèle un nouveau rapport publié par Real Science le 25 octobre dernier.
Selon ce rapport, « le pourcentage de stations américaines à atteindre 90 degrés (Fahrenheit, 32,2°C, NDLR) était le plus faible jamais enregistré cette année ».
Le rapport indique également que « quatre des cinq années les plus froides » aux Etats-Unis ont eu lieu alors que la concentration de CO2 dans l’air était considérée comme très élevée (350 parts par million). Le réseau américain de stations météorologiques est le plus fiable au monde.
Des associations écologistes affirment cette concentration « résulte de l’activité humaine et engendre le réchauffement global et le changement climatique ».