L’archevêque de Cantorbéry a été choisi par le nouveau secrétaire général Antonio Guterres pour siéger dans cet organe consultatif qu’il a créé pour obtenir « une poussée de la diplomatie en faveur de la paix ».
 
Font également parti de ce nouveau machin onusien la présidente chilienne socialiste Michelle Bachelet, qui vient de voir récompenser ses efforts pour faire légaliser l’avortement dans son pays, le diplomate français Jean-Marie Guéhenno, et de nombreuses figures du tiers-monde.
 
Parmi les membres déjà nommés à ce conseil formé il y a six jours on note la présence de personnalités ayant collaboré en vue de l’amélioration des relations entre les religions ou encore entre Palestine et Israël. Plus significative encore: la présence de Graça Machel, ancienne « combattante de la liberté » du Front de libération du Mozambique d’orientation marxiste-léniniste, ancien ministre de l’éducation du Mozambique, et dernière épouse de Nelson Mandela.