La Phrase : « Je veux être la première femme transgenre à obtenir un avortement »

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Telles sont les paroles de l’homme qui s’exprime sur la vidéo, militant LGBTIA revendiqué, sa chasuble d’un arc-en-ciel particulier (avec le rose pâle et le brun) le manifeste. Veut-il faire parler de lui ? Est-il malade ? Pense-t-il faire avancer une grande cause ? On l’ignore, et faute d’information suffisante, on ne prendra pas parti. Mais voilà un homme qui veut se faire mutiler par une opération, se faire transplanter des ovaires et un utérus de manière à pouvoir concevoir en tant que femme, avec comme objectif final d’éliminer l’embryon, c’est-à-dire de tuer un enfant innocent. C’est le comble de l’absurdité, le sommet de la barbarie. Mais le pire n’est pas ce pauvre bougre. Le pire, c’est le conglomérat de « penseurs », de juges, de législateurs, de politiciens, qui, au nom de la liberté de choix, et prétendant juguler la « transphobie », permettent, encouragent, et parfois financent cette mortelle folie. Nulle part n’apparaît mieux qu’ici le caractère de poison social du transgenrisme, son caractère de révolution antihumaine, d’inversion absolue. C’est une civilisation qui se condamne là : il faudra organiser un jour un Nuremberg de l’arc-en-ciel.