C’est le curieux choix publicitaire de l’Agence de Biomédecine : une parodie de film d’horreur où une jeune femme lardée de coups de couteaux souligne que sa mort ne sera pas inutile, puisqu’elle est « donneuse présumée » aux termes de la loi.
Ce n’est guère engageant et on retient surtout qu’il demeure possible pour chacun de refuser le don d’organes, avec adresse à l’appui…
Comme mise en garde (involontaire) contre une pratique de prélèvement qui repose sur l’idée qu’une personne qui respire et dont le cœur bat est « morte » et peut donc être charcutée à volonté, ce n’est finalement pas si mal !