Antonio Guterres, patron de l’ONU, entend imposer l’immigration de masse à l’Occident par tous les moyens

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Illustré d’une photographie d’un couple de jeunes migrants propres sur eux, enlacés, le regard triste au milieu d’une foule désemparée – elle, inévitablement affublée d’un foulard mahométan –, le texte de l’ONU est clair : l’immigration de masse subie par l’Occident est une obligation à laquelle il ne saurait se soustraire. Le socialiste Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, a sorti vendredi son dernier argument en date qui sera repris par tous les globalistes sur Terre : les gouvernements qui érigent des barrières contre les migrations infligeraient d’inutiles souffrances économiques à leur propre pays. Traduire : l’immigration est une chance. La France avait déjà entendu ce slogan voici une quarantaine d’années. On sait ce qu’il en est advenu.
 

Antonio Guterres et Louise Arbour exposent la politique de l’ONU : pour arrêter l’illégalité… « créer plus de filières légales d’immigration »

 
« La meilleure façon d’arrêter la stigmatisation d’illégalité et les mauvais traitements des migrants consiste pour les gouvernements, en fait, à créer plus de filières légales d’immigration », a bêlé Antonio Guterres, affublé de la Canadienne Louise Arbour, représentante spéciale de l’ONU pour les migrations. On notera le cynisme de l’argumentaire servi par Antonio Guterres. Le secrétaire général affirme qu’en érigeant des barrières contre l’immigration, les gouvernements « encouragent paradoxalement l’immigration illégale » car en refusant aux migrants des filières légales, ces derniers « se tournent inévitablement vers des méthodes illégales qui accroissent leur vulnérabilité autant qu’elles discréditent les gouvernements » des pays d’immigration. En d’autres termes, abolissez le code pénal et vous supprimerez la délinquance.
 
L’attaque était cousue de fil blanc : le secrétaire général visait directement la politique de contingentement migratoire mise en place avec succès par Donald Trump, à l’exact inverse du laxisme cynique pratiqué par l’oligarchie européenne. Les Etats-Unis ont annoncé en décembre qu’ils se retireraient du Pacte des Nations unies sur les Réfugiés.
 

Antonio Guterres donne systématiquement la priorité au nomadisme sur l’enracinement en prônant l’immigration de masse

 
Antonio Guterres présentait son rapport sur l’Accord global sur les migrations, qu’il espère voir adopter par les Etats membres en 2018, donnant systématiquement la priorité au nomadisme sur l’enracinement, à l’instabilité sur la sédentarité. La thématique de Guterres est simple. L’Accord prévu pour 2018 vise selon lui « à maximiser la contribution que les migrants apportent à nos sociétés et à conclure une série d’actions pour assurer que les droits des migrants soient pleinement respectés ». « Laissez-moi insister », ajoute-t-il : « Les migrations sont un phénomène global positif. Elles favorisent la croissance économique, réduisent les inégalités, connectent des sociétés différentes et nous aident à lisser les vagues démographiques de hausses et de baisses des populations ».
 
Un rapport intitulé « Faire en sorte que les migrations soient positives pour tous » est là pour appuyer ces dogmes que la réalité tend à démentir un peu plus chaque jour : croissance bridée par l’effondrement du niveau culturel, l’explosion des aides sociales et le moins-disant salarial ; sociétés multiculturelles, sociétés multi-conflictuelles ; colonisation démographique induisant à la fois une dégénérescence du modèle social occidental, porteur de développement et de bien-être, et une perte de capital humain pour les pays d’émigration. Quant à la déflation démographique occidentale, M. Guterres se garde bien d’accuser le malthusianisme et le dogmatisme avorteur des gouvernements.
 
Mais, non, le dogme prime dans les bureaux des globalistes onusiens. « Globalement, les migrants apportent une contribution majeure au développement international, tant par leur travail que par leurs envois de fonds dans leurs pays d’origine », s’extasie le texte de l’ONU, citant la somme de 600 milliards de dollars US transférés en 2017 des pays d’immigration vers ceux d’émigration, « trois fois le total des aides au développement ». Le contribuable occidental en tirera les conclusions qui s’imposent.
 

Pour le socialiste Antonio Guterres, le public occidental est « suspicieux et violent » – et il faut lui imposer l’immigration de masse

 
Le socialiste Antonio Guterres, dont le discours a été répercuté sans délai par les médias des pays d’émigration, de l’Inde au Nigeria, n’a pas dérogé à la scène de larmoiement qui s’impose, citant cette « minorité de gens désespérés qui risquent leur vie pour entrer dans des pays où ils sont confrontés à la suspicion et aux violences », stigmatisant non seulement les « crises humanitaires » mais aussi « cette perception du public (occidental, cela va de soi, NDLR) qui considère à tort les migrations comme hors de contrôle, entraînant des incompréhensions croissantes et des politiques qui visent à bloquer plutôt qu’à faciliter les mouvements de population ». Bref, les violences du jour de l’An en Allemagne, les zones de non droit en France et le scandaleux et lucratif trafic d’êtres humains sur les côtes d’Afrique du Nord ou au Mexique ont pour seule origine l’odieuse étroitesse d’esprit et l’inqualifiable égoïsme des populations européennes ou nord-américaines qui n’ont pas la qualité de pratiquer le nomadisme obligatoire imposé par l’oligarchie mondialiste.
 

Matthieu Lenoir