“Shot Dead” : le film qui raconte ces jeunes décédés après des injections de « vaccins » contre le COVID

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« C’est le film que nous aurions aimé ne pas avoir à faire, peut-on lire sur le site officiel. Mais c’est un film que tout le monde doit voir. » Shot Dead est sorti tout récemment et retrace l’histoire tragique de plusieurs jeunes, décédés à la suite d’injections de « vaccins » anti-covid. Ce sont leurs parents qui ont voulu témoigner, pour dire ce qui n’est pas audible dans un monde qui nie toujours les effets graves et parfois mortels de ces vaccins expérimentaux.

Le scandale sanitaire est bien réel. On apprend d’ailleurs que le VAERS, système américain de signalement public des effets secondaires suspectés, possède une version « cachée », plus prolixe, à laquelle ni médecins, ni patients ne peuvent avoir accès.

 

Pour les parents de ces jeunes décédés : « dire la vérité en l’honneur de leurs enfants »

On avait promis à leurs parents, on leur avait promis à eux que les injections étaient non seulement efficaces mais sûres. Ils en sont morts.

Le nombre de preuves des effets secondaires graves des vaccins expérimentaux anti-covid s’accumulent et certains gouvernements en viennent à devoir écouter les plaintes, poursuivis par la justice saisie par les particuliers. Mais tous ne le font pas et aux Etats-Unis, fortes de l’approbation express des vaccins par la Food and Drug Administration (FDA), les autorités font encore la sourde oreille.

Le film, projet de l’organisation à but non lucratif « We the Patriots USA », interviewe les parents de trois jeunes Américains décédés des suites d’injections : Trista, 18 ans, Ernesto, 17 ans et Naomi, décédée 11 heures après sa naissance en raison d’un manque de développement pulmonaire dû à une injection reçue par sa mère pendant la grossesse.

Plusieurs professionnels de la santé sont également interrogés, comme une infirmière, un cardiologue, un obstétricien et gynécologue… Tous partagent leurs avis d’experts et fournissent un faisceau d’indices approfondi sur le lien entre les injections et la mort subite de ces jeunes Américains.

 

Le gouvernement américain cache au public la réalité des effets secondaires liés aux vaccins

Dans le même temps, on découvre par le biais d’un article de recherche publié dans la prestigieuse revue médicale BMJ que le gouvernement américain conserve une base de données privée sur les effets secondaires consécutifs aux injections de vaccins.

Il s’agit du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) : un système de signalement public où chacun peut soumettre un rapport sur un effet secondaire suspecté causé par un vaccin. La journaliste de BMJ rapporte qu’il dispose en effet à la fois d’une base de données publique et d’un « back-end » qui comprend « toutes les mises à jour et corrections » concernant ces rapports, y compris les diagnostics formels et les décès.

Les rapports initiaux fournis par les patients et les médecins sont conservés et en général visibles, mais les ajouts postérieurs de ces derniers sont soit rendus impossibles par le système, soit oblitérés et passent alors dans la « version cachée ». C’est un responsable de la Food and Drug Administration (FDA) avec laquelle travaille le VAERS qui a confirmé cette information à la journaliste.

 

Vaccin anti COVID : un scandale sanitaire qui monte

L’article du BMJ raconte l’histoire du rhumatologue Patrick Whelan, qui a soumis un rapport VAERS pour l’un de ses patients, un garçon de 7 ans qui avait subi un arrêt cardiaque après avoir reçu une injection de vaccin anti-covid et a été admis à l’hôpital où il est finalement décédé. Le médecin n’a jamais pu mettre à jour son rapport sur le VAERS où il est stipulé que l’enfant est toujours à l’hôpital ! « Pensez à toutes les personnes qui utilisent les données du VAERS comme moyen d’évaluer ce qui se passe avec les vaccins », s’est inquiété ce médecin…

Le responsable de la FDA, Narayan Nair, directeur de division supervisant le VAERS, a craché le morceau lors d’une réunion en décembre 2022 : « Le VAERS comporte deux parties, le système frontal et le système “back-end”… Tout ce qui est dérivé des dossiers médicaux selon la loi » ne peut pas être consulté sur le système public. Selon les CDC (Centers for Disease Control), cela est dû au fait qu’ils cherchent à protéger la « confidentialité des patients ».

Qu’on nous permette d’en douter. Le système de collecte de rapports sur les médicaments de la FDA (FEARS) exploite aussi un système accessible au public qui est, lui, toujours mis à jour lorsque de nouvelles informations sur un cas lui sont soumises…

Alors, il est certain que le système du VAERS a subi une forte demande ! La journaliste de BMJ disait qu’avant le déploiement du vaccin covid, il recevait chaque année environ 60.000 rapports d’événements indésirables suspectés après les vaccinations. En 2021, le nombre de rapports « a grimpé jusqu’à un million, et 660.000 autres ont été déposés depuis »… Mais le VAERS n’a jamais cherché à augmenter le nombre de ses salariés pour pouvoir répondre à ce qu’on est en droit d’appeler une urgence sanitaire ! Plusieurs médecins interrogés par le BMJ disent n’avoir jamais été rappelés après le dépôt d’un dossier indiquant des effets secondaires graves…

En France, il s’est passé exactement la même chose.

Donc… parler, écrire, tourner des films… pour dire le vrai.

 

Clémentine Jallais