Le ministre de la Santé américain a annoncé mercredi la réévaluation du mifepristone après la mise au jour par la FDA d’effets secondaires graves, passés sous silence jusqu’ici. Les recherches les plus récentes sont « alarmantes » et « indiquent qu’à tout le moins l’étiquetage doit être modifié », a-t-il précisé. 11 % des utilisatrices font face à des événements graves ou comportant un risque de décès, 22 fois de plus que ne l’avoue la notice actuelle.

C’est, hélas, sans compter les 100 % de décès chez les enfants à naître provoqués par l’avortement chimique.

Mais tout frein au recours au « pesticide anti-humain » est une victoire pour la vie.