La Banque centrale européenne se propose de superviser plus de 130 banques d’Europe dans le cadre d’un programme mondial d’assainissement financier.
Elles seront soumises à des « crash test » : leur capacité à maintenir un niveau de fonds propres suffisant même en cas de scénario économique très défavorable sera évalué. Les médias se félicitent évidemment d’un tel progrès de la régulation.
Problème : c’est la BCE elle-même, comme toutes les banques centrales, qui continue à créer de la monnaie par sa politique des taux d’intérêts, et qui est donc la principale cause d’un crash éventuel.
La police ne s’exerce donc que sur les courroies de transmission, mais non sur la tête financière et politique du système…