L’ex-championne de tennis Martina Navratilova vient de réagir avec verdeur à un récent article du très politiquement correct New York Times qui désignait des « femmes biologiques » membres d’équipes de volleyball universitaires comme des « femmes non-transgenre » : un sommet de wokisme. Celle qui a remporté 18 tournois du Grand Chelem a tweeté sur X= « NYT – tu pues. Nous sommes des femmes, pas des FEMMES NON TRANSGENRE. Il suffira de dire FEMMES à l’avenir. » L’article rapportait le refus de nombreuses équipes de volley féminin de jouer contre San José State University qui compte un joueur trans, ce qui lui a permis d’atteindre la finale de la Mountain West Conference sans disputer un seul match. Dans la procédure judiciaire en cours contre ledit joueur, Blaire Fleming, un juge vient de donner raison à ce dernier. Les normes du sport universitaire prévoient que les joueurs trans ayant un niveau de testostérone de moins de 10 nanomoles par litre peuvent concourir dans les sports féminins : c’est la limite haute chez les femmes, et correspond à un niveau normal chez les hommes adultes. Mlle Navratilova a aussi un mot pour cela : c’est de la « triche ».