Quinze mille dollars, c’est ce qu’il en coûte aux Anglaises, de plus en plus nombreuses, qui vont aux Etats-Unis choisir le sexe de leur enfant.
Selon le docteur Daniel Potter, qui dirige une « clinique de fertilité » en Californie, leur nombre a augmenté en un an.
Quelques jours après la fécondation de l’ovule, on étudie le code génétique d’une cellule de l’embryon, afin de le conserver ou de le rejeter. En Grande-Bretagne l’opération est encore interdite.
Une précision, à la différence des Indiennes et des Albanaises, les Anglaises choisissent le plus souvent des filles.