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C’est la différence de suicides entre un groupe d’adolescents et de jeunes adultes souffrant de « dysphorie de genre » qui a suivi une « thérapie génique » suivie d’une opération « de changement de genre » et les groupes témoins qui n’ont pas suivi de changement chirurgical, tel est le résultat d’une étude finlandaise publiée dans la revue trimestrielle réputée BMJ Mental Health. L’enjeu de l’étude n’était pas mince puisque les militants du changement de genre précoce ont pour principal argument de dire aux parents qu’ils ont le choix entre accompagner leur enfant vers un changement de sexe, ou risquer qu’il se suicide – argument qui a d’ailleurs entraîné une inflation des envois en clinique des malheureux diagnostiqués « dysphorie de genre ». L’étude établit incidemment que les « dysphorie de genre » sont plus sujets à des traitements psychiatriques, et que plus de 40 % d’entre eux ont finalement subi un changement de sexe. En conclusion générale, l’opération de changement de sexe chez les « dysphorie de genre » ne réduit pas le taux de suicide ni même les idées suicidaires. Dont acte.