Cette crèche vivante qui devait faire partie de son spectacle de Noël « porte un message qui cautionne la religion [catholique] ou qui favorise ou donne la préférence à une croyance religieuse en particulier », selon le juge qui a donné raison aux plaignants d’ACLU (American Civil Liberties Union).
La décision du tribunal a été saluée par Annie Laurie Gaylor, co-présidente de la Fondation pour la liberté de religion, comme une « victoire pour tous ceux qui reconnaissent qu’il ne peut y avoir de liberté de croyance sans liberté de religion, que ce soit dans le gouvernement ou dans nos écoles publiques ».