Cela fonctionne, en tout cas, chez les souris. Une étude de l’université de Copenhague a constaté que des souris victimes du syndrome de Cockayne associé au nanisme et au vieillissement prématuré réagissaient bien l’administration d’huile de palme, cette matière grasse aidant les cellules qui s’autoréparent trop vite à mieux supporter ce rythme d’activité. Les chercheurs ont fait le lien avec les maladies neuro-dégénératives où le vieillissement des cellules aboutit à l’incapacité des cellules cérébrales à autoréparer leur ADN.