Sous la pression de plusieurs élus fédéraux qui ont déclenché un mouvement d’opinion publique, Mattel a donc renoncé à fabriquer un surveillant « au pair » fonctionnant à l’intelligence artificielle.
L’assistant « Aristote » aurait été capable d’observer et de récupérer de multiples données à propos des enfants utilisateurs.
Dans un premier temps, Mattel s’est engagé à crypter la mémoire de l’assistant AI de manière à la rendre inaccessible aux publicitaires, mais sous l’effet d’une pétition qui a rassemblé plus de 15.000 signatures, la société a préféré faire marche arrière.