Angela Merkel, qui vient d’instaurer le salaire minimum en Allemagne sous la pression de ses partenaires socialistes au gouvernement, s’inquiète maintenant que, très logiquement, cette mesure ne produise du chômage comme elle en produit déjà de ce côté du Rhin. La chancelière se trouve-t-elle coincée entre son « cœur » et la raison économique comme elle le dit, ou tout simplement entre les deux pinces de la grande coalition et de Bruxelles ?