Le six décembre 1968 les Rolling Stones publiaient Sympathy for the devil, sympathie pour le diable.
C’était l’époque où ils roulaient dans la drogue et la provocation. Richards et Brian Jones, pour incarner le mal, se déguisaient en Hitler.
La chanson, que Jagger prétend inspirée de Baudelaire est parcourue par la confusion entre le bien et le mal. Puis il y eut le festival d’Altamont, dont les Hells Angels, les anges de l’enfer, assuraient le maintien de l’ordre, avec quatre morts à la clé, puis le décès tragique de Brian Jones.
Aujourd’hui le pauvre vieux rocker a la douleur d’apprendre que sa compagne est morte pendue à une poignée de porte.
Une vie ravagée·