Selon l’International Business Times, au moins trente-trois militaires français, dont trois officiers de renseignement d’un grade élevé, et un chef du Hezbollah libanais étaient à bord du vol Air Algérie AH5017. La même source affirme que des djihadistes salafistes du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest stationnaient non loin de l’endroit du crash, qui est assez proche de leur sanctuaire. Cette filiale d’Al Qaïda possèderait des missiles venus par la Libye.
 
Bien que les autorités françaises excluent depuis le début toute possibilité de tir sol-air, voilà des informations qui, si elles se vérifiaient, pourraient servir à l’enquête, au moment où les boîtes noires sont arrivées à Paris et commencent d’être exploitées.